Un constat d'archipellisation

De nombreuses associations antispécistes sont actives en Belgique et obtiennent des résultats :

Bite Back, 269 Libération animale, Sea Shepherd, Paul Watson Fondation, Belgian Anti-fur Movement, Same Rights All Animals, Extinction Rebellion Animal, Suppression des expériences sur les animaux, Justice for the Animals, Animal Rights, Veganarchy, Gaïa etc…et maintenant la Ligue Antispéciste !

Bien qu’unies autour de l’éthique antispéciste, elles poursuivent toutes des objectifs particuliers et ont leur mode d’action propre.

A l’exception de Gaïa, les assos ont un nombre modeste de membres qu’elles peinent parfois à mobiliser.

Cette archipellisation des associations antispécistes nuit ouvertement à la Cause animale et a des conséquences délétères sur les associations elles-mêmes :

  • un certain isolement des associations ;
  • un impact sociétal et médiatique limité des actions posées ;
  • une difficulté récurrente à la mobilisation des membres ;
  • un turn-over important des membres actifs ;
  • un chevauchement inévitable des agendas respectifs des unes et des autres ;
  • un épuisement rapide des cadres dirigeants et des activistes ;
  • un sentiment d’inefficacité, d’inutilité et d’inefficience guettent certains membres ;
  • une marginalisation auprès du grand public des actions posées couplée à une critique plus facilement nourrie ;
  • une incompréhension mutuelle des objectifs poursuivis ;
  • une perte d’énergie, d’efficacité et de synergie.

C’est pour essayer de pallier ces disfonctionnements, pour unir nos efforts et in fine accroître notre efficience que la Ligue a créé :