Marche pour le climat à Bruxelles le 05/10/25

Le dimanche 05/10/25 se tenait dans les rues de Bruxelles l’édition 2025 de la Marche pour le Climat. A cette occasion, une vingtaine de citoyen.nes se sont rassemblés, portant des slogans forts, pour attirer l’attention des 20 à 30.000 marcheurs présents sur le sort déplorable réservé aux autres animaux.
 
Ils ont ainsi interpellé le monde politique, les écologistes et la société sur l’absence de la Question animale dans le débat politique.
 
Pourtant, nous ne comptons plus les rapports scientifiques prouvant les conséquences catastrophiques de l’exploitation animale en termes de réchauffement climatique, de santé publique, de perte de biodiversité, de pollution de l’environnement ; de gaspillage de surfaces cultivables, de nourriture, d’eau et d’énergie.
 
Cette exploitation représente en outre une faillite morale sans équivalent. Une tache indélébile que nous léguons de génération en génération à nos enfants : le meurtre alimentaire.
 
Jamais dans l’histoire de l’humanité, une espèce sentiente n’a eu à subir un holocauste aussi massif, cruel, systémique, dogmatique, aussi enraciné et désinvolte.
 
Notre humanité continue à massacrer des milliards d’animaux sentients chaque année. Des milliers de milliards chaque année. Partout, en permanence. Dans des conditions immondes. Avec une cruauté pathologique. Sans aucune utilité réelle à quelques exceptions près.
 
Rappelons que l’élevage est à lui seul responsable de près de 18% du total des GES. ; que 83% des terres agraires lui sont dévolues ; que 37 % des terres émergées lui sont sacrifiées ; qu’il est encore responsable de 25% de l’acidification des sols, de 80 % des émissions d’ammoniac ; de 80 % de l’utilisation des antibiotiques ; de 80 % de la captation des ressources halieutiques ; etc..
Par leur présence, ces citoyen.nes antispécistes ont interrogé une foule interloquée qui s’est souvent immobilisée devant leurs slogans pour en comprendre la portée, pour y réfléchir et pour réaliser la part écrasante de responsabilité personnelle et collective que sa mésinformation, son indifférence, son aveuglement entrainent pour les autres animaux et pour notre avenir commun.
 
Rappelons encore que si une vie moderne sans énergie fossile et/ou avec des énergies renouvelables paraît entrainer une transition compliquée, la transition vers une alimentation végétalienne et un mode de vie végane sont finalement, en comparaison, une adaptation à la portée de toustes qui entraine bien moins de difficultés tout en ayant un impact massif et immédiat sur nos émissions de GES.
Un mode de vie végane réduit en effet de 75 % (!!!) la part individuelle des émissions de GES liées à l’alimentation et qu’un monde végane permettrait de libérer 76% de terrains agricoles soit l’Australie, la Chine, l’Europe et les États-Unis réunis, une immensité de puits de carbone !
Ces citoyen.nes ont donc compris que l’antispécisme est une lutte éminemment politique, qu’elle est le seul moyen d’imposer ce débat dans l’espace public et de mettre les politiques au pied du mur pour parler de l’abolition de l’exploitation animale et qu’elle n’est pas une option, mais une obligation vitale, climatique, juridique, philosophique et éthique.
 
Si comme eux, vous comprenez que pour lutter contre une politique injuste, il faut concrètement se bouger et faire entendre sa voix dans l’espace politique, prenez contact avec nous.
 
 
Le pouvoir, c’est nous  ✊🏻🙏🏻
Nous sommes les électeurs et les consommateurs.
C’est en notre nom que l’on tue, que l’on pollue, que l’on détruit ☠️
Nous pouvons faire des rois.
Nous pouvons également bouleverser nos priorités.
 
 
Crédit photo & vid : Cassandre STURBOIS

Marche pour le climat à Bruxelles le 05/10/25

Le dimanche 05/10/25 se tenait dans les rues de Bruxelles l’édition 2025 de la Marche pour le Climat. A cette occasion, une vingtaine de citoyen.nes se sont rassemblés, portant des slogans forts, pour attirer l’attention des 20 à 30.000 marcheurs présents sur le sort déplorable réservé aux autres animaux.
 
Ils ont ainsi interpellé le monde politique, les écologistes et la société sur l’absence de la Question animale dans le débat politique.
 
Pourtant, nous ne comptons plus les rapports scientifiques prouvant les conséquences catastrophiques de l’exploitation animale en termes de réchauffement climatique, de santé publique, de perte de biodiversité, de pollution de l’environnement ; de gaspillage de surfaces cultivables, de nourriture, d’eau et d’énergie.
 
Cette exploitation représente en outre une faillite morale sans équivalent. Une tache indélébile que nous léguons de génération en génération à nos enfants : le meurtre alimentaire.
 
Jamais dans l’histoire de l’humanité, une espèce sentiente n’a eu à subir un holocauste aussi massif, cruel, systémique, dogmatique, aussi enraciné et désinvolte.
 
Notre humanité continue à massacrer des milliards d’animaux sentients chaque année. Des milliers de milliards chaque année. Partout, en permanence. Dans des conditions immondes. Avec une cruauté pathologique. Sans aucune utilité réelle à quelques exceptions près.
 
Rappelons que l’élevage est à lui seul responsable de près de 18% du total des GES. ; que 83% des terres agraires lui sont dévolues ; que 37 % des terres émergées lui sont sacrifiées ; qu’il est encore responsable de 25% de l’acidification des sols, de 80 % des émissions d’ammoniac ; de 80 % de l’utilisation des antibiotiques ; de 80 % de la captation des ressources halieutiques ; etc..
Par leur présence, ces citoyen.nes antispécistes ont interrogé une foule interloquée qui s’est souvent immobilisée devant leurs slogans pour en comprendre la portée, pour y réfléchir et pour réaliser la part écrasante de responsabilité personnelle et collective que sa mésinformation, son indifférence, son aveuglement entrainent pour les autres animaux et pour notre avenir commun.
 
Rappelons encore que si une vie moderne sans énergie fossile et/ou avec des énergies renouvelables paraît entrainer une transition compliquée, la transition vers une alimentation végétalienne et un mode de vie végane sont finalement, en comparaison, une adaptation à la portée de toustes qui entraine bien moins de difficultés tout en ayant un impact massif et immédiat sur nos émissions de GES.
Un mode de vie végane réduit en effet de 75 % (!!!) la part individuelle des émissions de GES liées à l’alimentation et qu’un monde végane permettrait de libérer 76% de terrains agricoles soit l’Australie, la Chine, l’Europe et les États-Unis réunis, une immensité de puits de carbone !
Ces citoyen.nes ont donc compris que l’antispécisme est une lutte éminemment politique, qu’elle est le seul moyen d’imposer ce débat dans l’espace public et de mettre les politiques au pied du mur pour parler de l’abolition de l’exploitation animale et qu’elle n’est pas une option, mais une obligation vitale, climatique, juridique, philosophique et éthique.
 
Si comme eux, vous comprenez que pour lutter contre une politique injuste, il faut concrètement se bouger et faire entendre sa voix dans l’espace politique, prenez contact avec nous.
 
 
Le pouvoir, c’est nous  ✊🏻🙏🏻
Nous sommes les électeurs et les consommateurs.
C’est en notre nom que l’on tue, que l’on pollue, que l’on détruit ☠️
Nous pouvons faire des rois.
Nous pouvons également bouleverser nos priorités.
 
 
Crédit photo & vid : Cassandre STURBOIS